Rentrée cinématographique

A vos calendriers ! La saison de cinéma à Prenois reprend le jeudi 18 septembre à 20h30 avec le film « Les murs porteurs » :

Comédie dramatique de Cyril Gelblat (France)
avec Miou-Miou, Charles Berling, Giovanna Mezzogiorno
Durée : 1h28

Frida, Ashkénaze de 75 ans, perd la mémoire et confond passé et présent. Judtih, sa fille, a choisi de ne pas travailler pour s’occuper de ses enfants. Divorcée, affrontant le départ de son dernier fils et le vieillissement de sa mère, elle s’interroge sur son utilité. Quant à Simon, le fils de Frida, qui, en tant que journaliste, observe la société avec tant d’acuité, il ne saisit ni l’éclosion de sa fille, ni le vieillissement de sa mère. Frida retourne dans son ancien appartement où elle rencontre Manou, sa locataire, qui est dans l’attente d’une importante promotion. Le retour dans cet appartement, carrefour de leurs existences, permettra à ces personnages de se trouver et se retrouver.

Votre court métrage : Kwiz de Renaud Callebaut

Le jeudi 2 octobre à 20h30 : « Wall E »

Film d’animation de Andrew Stanton (USA)
Durée : 1h30

WALL-E (prononcez Walli) est le dernier être sur Terre et s’avère être un… petit robot ! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité … Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul…
Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversé avec l’arrivée d’une petite « robote », bien carénée et prénommée Eve. Tombant instantanément et éperdument amoureux d’elle, WALL-E va tout mettre en œuvre pour la séduire.
Lorsqu’Eve est rappelé dans l’espace pour y terminer sa mission, WALL-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures !

Votre court métrage : L’Homme Torche de Ron Dyens